L’Amrae vient de sortir son 6e panorama des systèmes d’information de gestion des risques (SIGR).
Pour cette édition 2014, les éditeurs ont répondu en plus grand nombre
qu’en 2013. En effet, ils sont 43 contre 37 l’an dernier, soit une
évolution de 16% permettant à l’Amrae d’avoir un échantillon
représentatif du marché. «Au vu de cette augmentation et des hausses
d'appels d'offres qu'ils ont enregistré en 2013 nous pouvons aussi
confirmer que nous sommes sur un marché dynamique et en croissance où
les éditeurs, comme les clients, ont gagné en maturité», confie François Beaume, directeur du risk-management chez Dalkia et président de la commission SI de l’association.
La montée en compétence des DSI
Une maturité grandissante qui se traduit par le fait que ses solutions touchent différents départements dans l’entreprise. Un décloisonnement qui augmente l'intérêt et la sensibilité de nouveaux interlocuteurs internes face aux systèmes d’information de gestion des risques. «De plus en plus de DSI sont effectivement impliqués dans les appels d'offres. C'est une des preuves que cette problématique est de plus en plus transverse dans les entreprises et touchent ainsi plusieurs départements», confirme François Beaume.
Alors que la direction des risques (84%) reste fortement présente dans les appels d’offres SIGR, la direction des SI fait une percée remarquée. Pour 53% des répondants, ces derniers sont ainsi à l’origine de ces appels d’offres. Selon 42% des éditeurs, les directions générales sont aussi initiatrices de ces différentes consultations.
Vers une solution unique
Pour s’adapter à cette nouvelle donne, les éditeurs proposent en effet aujourd’hui à leurs interlocuteurs une unique application (77% des répondants) et, pour 67% d’entre eux, cette solution unique est modulaire. Finalement seulement 12% du panel propose des applications distinctes adaptées aux différents axes fonctionnels analysés (Audit interne, conformité, cartographie, qualité ou encore assurance).
La montée en compétence des DSI
Une maturité grandissante qui se traduit par le fait que ses solutions touchent différents départements dans l’entreprise. Un décloisonnement qui augmente l'intérêt et la sensibilité de nouveaux interlocuteurs internes face aux systèmes d’information de gestion des risques. «De plus en plus de DSI sont effectivement impliqués dans les appels d'offres. C'est une des preuves que cette problématique est de plus en plus transverse dans les entreprises et touchent ainsi plusieurs départements», confirme François Beaume.
Alors que la direction des risques (84%) reste fortement présente dans les appels d’offres SIGR, la direction des SI fait une percée remarquée. Pour 53% des répondants, ces derniers sont ainsi à l’origine de ces appels d’offres. Selon 42% des éditeurs, les directions générales sont aussi initiatrices de ces différentes consultations.
Vers une solution unique
Pour s’adapter à cette nouvelle donne, les éditeurs proposent en effet aujourd’hui à leurs interlocuteurs une unique application (77% des répondants) et, pour 67% d’entre eux, cette solution unique est modulaire. Finalement seulement 12% du panel propose des applications distinctes adaptées aux différents axes fonctionnels analysés (Audit interne, conformité, cartographie, qualité ou encore assurance).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire