On se pensait tranquilles, détendus des cervicales,
confortablement installés devant notre ordi. Mais pas du tout. Se rendre
au bureau, c’est juste suicidaire. Et ce sont des éminences qui le
disent, sur le site de La Tribune. Le travail ? « On se prépare, assis, à en mourir » selon cet ostéopathe américain. La sédentarité ? « Elle tue plus que le tabac » affirme
ce cardiologue et médecin du sport, pas alarmiste pour un euro. En
cause : la station assise. À proscrire. Pour vivre vieux, travaillons
debout, couchés, sur le dos ou le côté, mais assis, jamais. Une seule
solution : l’interdiction. Virons tous les fauteuils, ergonomiques ou
pas, des open spaces. On ne va tout de même pas tergiverser avec une
question de vie ou de mort.
Mais en éradiquant la chaise criminelle, en aura-t-on fini avec la dangerosité au bureau ? Absolument pas. Car la menace se cache dans les détails. Et bien d’autres obstacles à une vie saine et harmonieuse sont à éliminer de la vie au boulot. Le court-sucré, celui de 10 heures ou de 15 heures ? Super dangereux. De quoi se mettre le palpitant en zone rouge. À éliminer d’urgence. Et pas question de le remplacer par un déca. Ce truc-là contient des substances forcément ammoniaquées. Un poison. Comme le bruit du téléphone, le ding-ding du mail qui arrive, ou la voix de Stéphane, le chef acariâtre. Toutes ces pollutions sonores provoquent, chez l’homo laborius moyen, des sursauts de panique absolument nocifs.
Pour éviter un infarctus du bureaucrate, il faut en finir. Interdisons les coups de fil, les mails pro et les chefs de services. Et que dire du stress boucheur d’artères et générateur de maux de tête provoqués par les rendez-vous clients qui se terminent par un refus de signer le bon de commande. Deux solutions : soit on interdit à un prospect de refuser une proposition. Soit on proscrit le commerce. La seconde voie semble beaucoup plus simple à mettre en place. Elle est aussi plus radicale et plus sûre.
Au final, le plus simple pour permettre à chacun de vivre le plus longtemps possible en harmonie totale avec son corps finement sculpté et jamais abîmé, consiste à supprimer purement et simplement le travail. Ou les études alarmistes.
Mais en éradiquant la chaise criminelle, en aura-t-on fini avec la dangerosité au bureau ? Absolument pas. Car la menace se cache dans les détails. Et bien d’autres obstacles à une vie saine et harmonieuse sont à éliminer de la vie au boulot. Le court-sucré, celui de 10 heures ou de 15 heures ? Super dangereux. De quoi se mettre le palpitant en zone rouge. À éliminer d’urgence. Et pas question de le remplacer par un déca. Ce truc-là contient des substances forcément ammoniaquées. Un poison. Comme le bruit du téléphone, le ding-ding du mail qui arrive, ou la voix de Stéphane, le chef acariâtre. Toutes ces pollutions sonores provoquent, chez l’homo laborius moyen, des sursauts de panique absolument nocifs.
Pour éviter un infarctus du bureaucrate, il faut en finir. Interdisons les coups de fil, les mails pro et les chefs de services. Et que dire du stress boucheur d’artères et générateur de maux de tête provoqués par les rendez-vous clients qui se terminent par un refus de signer le bon de commande. Deux solutions : soit on interdit à un prospect de refuser une proposition. Soit on proscrit le commerce. La seconde voie semble beaucoup plus simple à mettre en place. Elle est aussi plus radicale et plus sûre.
Au final, le plus simple pour permettre à chacun de vivre le plus longtemps possible en harmonie totale avec son corps finement sculpté et jamais abîmé, consiste à supprimer purement et simplement le travail. Ou les études alarmistes.
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