Comment faire confiance à tus ces "guguss" qui veulent nous gouverner et ne savent pas (???) ce qui se passe chez eux. Étonnement de façade, incompétence, arrivisme... Un peu de tout je pense...
«Souffrance» et «colère». Voilà les deux sentiments qui prédominent au sein d'une UMP condamnée à vivre au rythme des rebondissements de l'affaire Bygmalion, à en croire Alain Juppé, qui s'est rendu mercredi soir dans le Val-d'Oise pour rassurer des adhérents déboussolés par la situation.
L'ancien Premier ministre, membre du triumvirat qui a pris la tête du parti
après l'éviction de Jean-François Copé, l'assure : «Nous sommes plus
que troublés.» «Tous les militants de l'UMP sont troublés, tristes,
devant notre parti atteint par cette succession d'affaires, et même en
colère, c'est la raison pour laquelle il faut tourner la page»,
insiste-t-il.
Une «colère bien compréhensible» aux yeux d'Alain Juppé, «puisque les fonds auraient servi à autre chose que de financer le fonctionnement de l'UMP». Pour mémoire, le militants avaient été incités, l'été dernier, à mettre la main à la poche à la suite de l'annulation des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy.
VIDEO. Un militant UMP déchire sa carte d'adhérent
Le maire de la cité girondine s'exprimait face au club de la presse de Bordeaux alors que ce jeudi matin encore, Jérôme Lavrilleux confirme à «Libération» qu'un système de fausses factures destiné à faire prendre en charge indûment par l'UMP des meetings de la campagne de Nicolas Sarkozy a eu cours lors de la campagne présidentielle de 2012.
Selon lui, toute la garde rapprochée de l'ancien président était au courant. «Ils peuvent toujours faire les ravis de la crèche et répéter qu'ils ne savaient pas, ne voulaient pas, mais devant les policiers ils auront plus de mal», assure Lavrilleux dans les colonnes du quotidien.
Bertrand juge «nécessaire» que Sarkozy «s'exprime»
La veille, l'affaire s'était enrichie d'un nouvel épisode, l'ex-directeur de campagne de Nicolas Sarkozy en 2012, Guillaume Lambert, proclamant son innocence dans un courrier au procureur de Paris. Deux cadres de l'UMP ont par ailleurs été suspendus, tandis que deux députés du principal parti d'opposition annonçaient leur intention de déposer plainte.
Dans la soirée, l'ancien ministre Xavier Bertrand, candidat déclaré à l'investiture de son parti pour la présidentielle 2017, en remettait une couche en estimant «nécessaire» que Nicolas Sarkozy «s'exprime maintenant sur cette affaire, qu'il donne sa version». Une pierre dans le jardin de Nicolas Sarkozy, qui adresse une nouvelle «carte postale» à son camp dans «Le Figaro magazine» de cette semaine.
Sur ce point, Alain Juppé, préfère ne pas se mouiller : «C'est à lui de se déterminer, il sait ce qu'il a à faire»
«Souffrance» et «colère». Voilà les deux sentiments qui prédominent au sein d'une UMP condamnée à vivre au rythme des rebondissements de l'affaire Bygmalion, à en croire Alain Juppé, qui s'est rendu mercredi soir dans le Val-d'Oise pour rassurer des adhérents déboussolés par la situation.
Une «colère bien compréhensible» aux yeux d'Alain Juppé, «puisque les fonds auraient servi à autre chose que de financer le fonctionnement de l'UMP». Pour mémoire, le militants avaient été incités, l'été dernier, à mettre la main à la poche à la suite de l'annulation des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy.
VIDEO. Un militant UMP déchire sa carte d'adhérent
Le maire de la cité girondine s'exprimait face au club de la presse de Bordeaux alors que ce jeudi matin encore, Jérôme Lavrilleux confirme à «Libération» qu'un système de fausses factures destiné à faire prendre en charge indûment par l'UMP des meetings de la campagne de Nicolas Sarkozy a eu cours lors de la campagne présidentielle de 2012.
Selon lui, toute la garde rapprochée de l'ancien président était au courant. «Ils peuvent toujours faire les ravis de la crèche et répéter qu'ils ne savaient pas, ne voulaient pas, mais devant les policiers ils auront plus de mal», assure Lavrilleux dans les colonnes du quotidien.
Bertrand juge «nécessaire» que Sarkozy «s'exprime»
La veille, l'affaire s'était enrichie d'un nouvel épisode, l'ex-directeur de campagne de Nicolas Sarkozy en 2012, Guillaume Lambert, proclamant son innocence dans un courrier au procureur de Paris. Deux cadres de l'UMP ont par ailleurs été suspendus, tandis que deux députés du principal parti d'opposition annonçaient leur intention de déposer plainte.
Dans la soirée, l'ancien ministre Xavier Bertrand, candidat déclaré à l'investiture de son parti pour la présidentielle 2017, en remettait une couche en estimant «nécessaire» que Nicolas Sarkozy «s'exprime maintenant sur cette affaire, qu'il donne sa version». Une pierre dans le jardin de Nicolas Sarkozy, qui adresse une nouvelle «carte postale» à son camp dans «Le Figaro magazine» de cette semaine.
Sur ce point, Alain Juppé, préfère ne pas se mouiller : «C'est à lui de se déterminer, il sait ce qu'il a à faire»
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