De son côté, la banque française dirigée par Laurent Mignon a vu son résultat net (part du groupe) s'établir à 303 millions d'euros au premier trimestre, en augmentation de 3%, pour un PNB en progression de 3% à 1,86 milliard. Quant à sa maison-mère BPCE, celle-ci a clos les trois premiers mois de l'année sur un bénéfice net part du groupe de 866 millions d'euros, en hausse de 16,1%, grâce à une hausse de 2,9% du PNB, à 5,85 milliards, couplée à une bonne maitrise des charges, illustrée par l'amélioration de 1,4 point, à 67,9%, du coefficient d'exploitation (rapport entre les charges d'exploitation et les revenus).
Conséquence, BPCE a encore renforcé sa solvabilité, avec un ratio de fonds propres durs (apports des actionnaires et bénéfices mis en réserve rapportés aux crédits consentis, ndlr) de 10,8% à la fin mars, en hausse de 40 points de base par rapport au 31 décembre 2013. "Cela nous met sur une bonne trajectoire pour la réalisation de notre plan stratégique ", a indiqué François Pérol, membre du directoire de BPCE. Plan qui prévoit un ratio de solvabilité de 12% d'ici à 2017.
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